28 avril 2008
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21:24
Chambre 214
J’y suis arrivé en descente
Sans la possibilité de ré-aterrir sans souffrir
Un rendez vous avec Carrière et je fini hospitalisé
Au bout d’1 quart d’heure de monologue sur mon dégoût ma haine ma révolte
Face à tout mes abandons et la façon dont je voyais les choses à cet période
« On va vous aider à sortir de ce tunnel »
Je connais le refrain, il m’agace mais je laisse faire
La souffrance, la torture psychique est insupportable
J’accepte leur discours tout fait, préétabli, leur protocole de soin
Sans broncher je ne vois pas comment faire autrement
J’allais de lieu en place et je me sentais toujours aussi mal
A la recherche de ma place
Alors que sa place il faut se la faire, se la creuser tout seul
Bien sure les conditions font que cela demande plus ou moins de finesse, d’énergie, de délicatesse, d’enthousiasme, de témérité pour affronter autrui qui peut être tellement déstabilisant
Enfin je parle en mon nom
Moi le gars de la 214
J’y suis arrivé en descente
Sans la possibilité de ré-aterrir sans souffrir
Un rendez vous avec Carrière et je fini hospitalisé
Au bout d’1 quart d’heure de monologue sur mon dégoût ma haine ma révolte
Face à tout mes abandons et la façon dont je voyais les choses à cet période
« On va vous aider à sortir de ce tunnel »
Je connais le refrain, il m’agace mais je laisse faire
La souffrance, la torture psychique est insupportable
J’accepte leur discours tout fait, préétabli, leur protocole de soin
Sans broncher je ne vois pas comment faire autrement
J’allais de lieu en place et je me sentais toujours aussi mal
A la recherche de ma place
Alors que sa place il faut se la faire, se la creuser tout seul
Bien sure les conditions font que cela demande plus ou moins de finesse, d’énergie, de délicatesse, d’enthousiasme, de témérité pour affronter autrui qui peut être tellement déstabilisant
Enfin je parle en mon nom
Moi le gars de la 214